VIVRE EN COMMUNAUTÉ
Le joueur de base-ball des Rangers du Texas Josh Hamilton a vaincu les démons de la toxicomanie et de l’alcoolisme. Lorsque son équipe a remporté la finale des séries de 2010, Hamilton a redouté de participer aux célébrations qui allaient s’ensuivre. Il a avoué qu’il n’était pas bon pour un alcoolique en convalescence de se retrouver sous une « pluie » de champagne, mais quelque chose de magnifique s’est produit. Au lieu de sabler le champagne, ses coéquipiers ont rempli le vestiaire de boissons gazeuses au gingembre afin que Hamilton puisse faire la fête avec eux. Quelle superbe image d’un groupe de gens faisant passer les besoins d’autrui avant les leurs !
CHERCHER ET TROUVER
Lachlan Macquarie, gouverneur du New South Wales de 1810 à 1821, avait une manière bien à lui de procurer à tout le monde le sentiment d’appartenir à la nouvelle colonie. Lorsque les « exclusives » (les colons libres, les agents de la Couronne et les officiers militaires) ont évité les « emancipists » (les forçats déportés étant en liberté conditionnelle ou ayant été pleinement graciés), le gouverneur Macquarie a insisté pour que ces derniers soient traités sur un pied d’égalité sociale.
UNE MAUVAISE, UNE BONNE
Dernièrement, je me suis entretenu avec une femme ayant vécu une situation des plus pénibles. Le stress avait affecté sa santé, si bien qu’elle devait consulter souvent le médecin. Le sourire aux lèvres, elle m’a toutefois dit avoir su profiter de cette situation pénible pour parler de Christ à son médecin.
OUVRIR NOTRE MAISON
Dans son livre intitulé Outlive Your Life (Vis ta vie jusqu’au bout), Max Lucado écrit : « L’hospitalité ouvre la porte à une communauté rare. Il n’y a rien d’accidentel dans le fait que les mots hospitalité et hôpital proviennent du même mot latin, car ils produisent tous les deux le même résultat : la guérison. Lorsque l’on ouvre la porte à quelqu’un, on lui envoie le message suivant : ‘‘Tu comptes pour moi et pour Dieu.’’ Il se peut que vous ayez l’impression de lui dire : ‘‘Viens faire un tour’’, mais ce que votre invité entend, c’est : ‘‘Je vaux la peine.’’ »
DES GENS BIEN
En juin 2011, lorsqu’une terrible inondation a chassé de leurs demeures les résidants de Minot, au Dakota du Nord, les gens de cette collectivité ont fait ce qui semblait leur venir naturellement : ils sont venus en aide à d’autres sinistrés. Sans même se le faire demander, des gens vivant à plus d’une heure de route de là sont venus leur prêter secours. Certaines personnes ont loué leur caravane à ceux qui avaient perdu leur maison et d’autres ont permis que leur garage serve de remise temporaire. Les gens du Dakota du Nord ont ainsi démontré ce que signifie être un bon prochain.
REFUSER TOUTE DISSIMULATION
L’odeur qui se dégageait d’une décharge publique débordante inquiétait de plus en plus la population, si bien que des travailleurs ont installé des canons déodorants à haute pression afin de la masquer. Ces canons vaporisaient plusieurs gallons de fragrance la minute sur une distance allant jusqu’à 46 m au-dessus des monticules d’ordures en putréfaction. Peu importe combien de gallons de déodorant étaient vaporisés pour masquer l’odeur nauséabonde, cette fragrance ne pouvait toutefois que la masquer jusqu’à ce que la source de cette puanteur soit éliminée.
CONVERSATION COURAGEUSE
Se peut-il que des percées technologiques en matière de communications nous empêchent de faire face aux gens correctement ? Après tout, les employeurs peuvent maintenant envoyer un avis de licenciement par Internet. Les gens peuvent critiquer les autres sur Facebook et Twitter au lieu de leur parler de vive voix. Peut-être vaudrait-il mieux mettre tout cela de côté et imiter Paul dans la manière dont il a communiqué avec Pierre lorsqu’ils ont eu un différend.
APPELÉ D’UN AUTRE NOM
Dans l’article intitulé « Leading by Naming » (Diriger en nommant), Mark Labberton a écrit au sujet du pouvoir d’un nom. Il a dit : « Je ressens encore l’incidence qu’a eu sur moi le fait qu’un ami musicien m’a qualifié de ‘‘musical’’. Personne ne m’avait jamais appelé ainsi. Je ne jouais pas vraiment d’un instrument. Je n’étais pas soliste. Pourtant…, je me suis instantanément senti reconnu et aimé. […] [Il] a remarqué, validé et aimé quelque chose de profondément vrai à mon sujet. »
CE QU’IL Y A DE VRAI
Les membres d’une Église de Naperville, dans l’Illinois, se réjouissent de l’installation de ses nouvelles cloches dans le clocher au-dessus de son sanctuaire. Lors de la construction de l’église, il y a plusieurs années, ils n’avaient pas les moyens de s’acheter des cloches. Lors de son 25e anniversaire, ils ont pu amasser les fonds nécessaires pour suspendre trois cloches dans l’espace vide. Même si elles sont magnifiques, il y a un problème : la congrégation ne les entendra jamais sonner, car bien qu’elles puissent passer pour vraies, elles sont fausses.
CÉLÉBREZ LES FRUITS
Il est facile de devenir critique envers les gens dont la croissance spirituelle n’est pas conforme à nos attentes. Nous pouvons facilement repérer chez eux des choses à corriger, mais nous devons également remarquer ce qui va bien. Dans ses épîtres, Paul a dû souvent corriger des Églises, mais il a aussi célébré ce qu’il y trouvait de bien.